L’école de danse La Clandestine va faire sa rentrée avec des portes ouvertes du 19 septembre au 2 octobre à Strasbourg.

S’entrainer là-bas, avec Luna Moka la directrice, c’est avoir un certain état d’esprit…

La Clandestine défend les couleurs du burlesque et de l’effeuillage rétro. 

Du sexy avec classe, élégance et un brin d’humour.

Vous avez casé les gosses chez mamie ? 

Vous voulez apprendre à vous dessaper pour jeter votre string à la figure de votre mec, lors d’une soirée fifty shades of grey ? C’est pas (du tout) ici que ça se passe...

D’abord, parce que le string on le garde pendant l’effeuillage !

On n’enlève jamais tout 

nous explique Luna Moka.

Ensuite, la danse burlesque est un art, d’abord pour les femmes, qui veulent se faire du bien. C’est féminin, et féministe.

Non, on ne drague pas avec l’effeuillage burlesque. On tease oui, un peu. Mais c’est surtout pour nous, pour nous faire plaisir, s’assumer, redécouvrir notre corps par exemple.

Éloge de la lenteur 

Luna Moka prône des gestes lents, des attitudes, du style.

Tu ne jettes pas tes gants en deux secondes. Tu n’enlèves pas ton bustier comme si tu voulais prendre une douche. Nous apprenons la lenteur. Tout passe d’abord par le regard et le sourire. C’est une ambiance, avec aussi de beaux costumes, de la belle lingerie, des robes que les élèves choisissent.

Le gant ? L’accessoire est indispensable à une bonne danseuse burlesque. 

Démo et témoignage dans notre vidéo.

Danse burlesque, french cancan, claquettes, comédie musicale, swing tonic fitness, La Clandestine propose différents cours, pour vivre, un peu, comme dans un cabaret.

La Clandestine, 33 avenue du Maréchal Lefèbvre à Strasbourg.

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