Depuis la fin du confinement, l’atelier de l’association Bretz’selle à Strasbourg ne désemplit pas.

Le gouvernement a lancé une prime de 50 euros pour faire réparer un vélo.

Histoire de vous faire préférer le biclou au bus ou au tram en cette période de déconfinement post-coronavirus.

Pour profiter de ce coup de pouce et reprendre goût au vélo, c’est ici que ça se passe.

Pensez local !

Pourquoi ne pas profiter de ces 50 euros pour soutenir, en plus, une association locale ?

Les bénévoles de Bretz’selle apprennent aux adhérents à réparer les vélos.

C’est vous qui mettez les doigts dans le cambouis pour remplacer un frein, une roue, une chaine…

Esprit recup’, tout se fait à base de pièces d’occasion, récupérées sur de vieux vélos. 

On ne jette plus, on répare, on recycle. Avec la satisfaction d’un boulot “fait maison”.

Depuis la fin du confinement, l’atelier est adapté aux nouvelles règles sanitaires.

Il s’agit de limiter le nombre de personne dans l’établissement, d’être masqué et de se laver régulièrement les mains.

Avec ce coup de pouce de 50 euros, le nombre d’adhérents à l’association augmente fortement, plus de 15 inscriptions chaque jour en moyenne.

Et des vélos désormais disposés sous une tonnelle sur une place de parking, rue des bouchers, délimitée par la ville pour gérer la demande, tout en respectant la sécurité sanitaire des usagers. 

Le coup de pouce change-t-il beaucoup les choses ?

Oui, il y a plus de demandes, explique Matteo Sernison, de l’association Bretz’selle.

Mais l’esprit vélo est déjà très fort à Strasbourg. Les gens veulent faire des balades après le confinement.

En vidéo dans notre player, l’atelier de Bretz’selle.

Association Bretz’selle, 10 rue des Bouchers à Strasbourg. Visitez le site web

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